Il n’existe pas de notions très exactes qui définissent l’écotourisme suite aux différentes activités proposées par les opérateurs ou les agences de voyage. L’Iran est une destination de choix pour ceux qui sont passionnés par la civilisation orientale. En effet, voyager dans ce pays, c’est d’abord connaître son passé prestigieux de plus de 5 000 ans à travers ses vestiges historiques. Cependant, le but est de découvrir presque toutes les facettes du pays que vous voulez visiter. Pour tous les voyageurs du monde entier, l’écotourisme se base sur le fait de parcourir une destination et voir ses richesses naturelles, les faunes et les flores… Mais, il peut aussi se pencher vers une virée culturelle. C’est-à-dire, observer les folklores qui règnent dans les zones naturelles.

En effet, avec les habitants très accrocheurs aux traditions et ses différents havres de paix, le territoire iranien s’avère une cible parfaite pour l’écotourisme. Séjourner en Iran inclut alors le fait d’apercevoir ses patrimoines naturels et culturels dans des endroits purs. En plus de passer de bonnes vacances, vous pourrez contribuer à la préservation de l’environnement et des cultures locale. Par conséquent, l’option d’un logement saisonnier est pratique pour assurer de passer un agréable séjour.

Les flores dans le désert du Dacht-e-Kavir

En Asie, au bord du Golfe d’Oman, le golfe Persique et la mer Caspienne, l’Iran révèle en tout un panorama de chaînes montagneuses escarpées qui entourent de hauts bassins. Comme Dacht-e Kavir, un grand désert qui s’étend du nord-ouest, le mont Elbourz, jusqu’au sud-ouest, le Dacht-e-lout et les provinces iraniennes. Hormis le sol qui est couvert de sables et de rocailles, quelques endroits de ce désert accueillent des marais salés, des lacs et des wadis. Puis, certaines parties du Dacht-e-Kavir prennent l’apparence d’une steppe, tandis que les vallées et les sommets des montagnes abritent des espèces de plantes comme les arbrisseaux, les herbes…

Durant ce séjour en Iran, les touristes verront plus souvent des armoises communes, un type de végétaux qui peuvent s’adapter au climat chaud et aride de cette région. Toujours au Dacht-e-Kavir, mais au point sud-est, le lac salé d’Orumieh rejoint la liste des réserves de biosphère de l’UNESCO. Il offre également un lieu de refuge pour les flores de ce désert. Les aventuriers pourront, par exemple, louer un gîte au style d’architecture safavide ou encore se procurer d’une résidence à proximité de la place de l’Imam.

Entre faunes et habitants dans le désert du Dacht-e-Kavir

Ce grand havre de paix iranien fera la joie des ornithologues, car quelques parties du plateau désertique abritent des oiseaux typiques comme le Corvidé iranien, un volatil du genre Podoces. Aussi, les outardes houbara, les Alaudidae et les Ptéroclididés abondent dans ce même endroit. Par contre, vous croiserez des gazelles perses, des serpents et des lézards en rejoignant les steppes ou le plateau central du Dacht-e-Kavir durant vos séjours en Iran. Concernant les léopards, les mouflons et les chèvres sauvages, ils vivent dans les zones montagneuses. Si vous voulez y découvrir des animaux nocturnes, faites un saut autour des coins un peu dissimulés pour voir les chats sauvages, les renards, les loups et d’autres carnivores. Par ailleurs, les habitants qui sont spécialisés pour l’élevage des chameaux et des moutons se sont installés dans des angles propices pour mieux se protéger du vent et les conditions de vie un peu complexe. Parmi leurs techniques, le qanat est un système de distribution d’eau toujours utilisé jusqu’à aujourd’hui. Par ailleurs, en ce qui concerne le camping, il faut souligner que ceci n’est pas permis dans le territoire iranien pour des raisons de sécurité.